Nom : ---
Prénom :
Âge : 19 en apparence
Sexe : Féminin
Numéro : 26
Nombres de bras fantômes : De 2 à 28
Longueur des bras fantômes : De 1m50 à 16m
Apparence physique : Cassandra fait environ 1 mètre 80, les cheveux roses et les yeux de la même insolite couleur qui caractérise la plupart des Diclonius. Au sommet de son crâne trônent évidemment les cornes spécifiques à son espèce. Ces aspect plutôt normaux mis à part, il se trouve que son regard est plus que gênant, tout comme celui de Lucy à laquelle Cassandra ressemble à s'y méprendre. Méprendre, presque, car une marque au fer lui a été faite sur la nuque, portant le numéro qui l'identifie (26) sur la nuque afin d'éviter toute confusion avec la vraie Lucy.
Description du comportement : Une psychopathe dans toute sa splendeur. Elle limitera en général les interactions sociales à leur strict minimum, du moins en temps normal. Qui sait, peut-être que quelqu'un pourra "l'attendrir" ? Le fait est que les épreuves de laboratoire l'ont passablement endurcie et rendue invivable ainsi que particulièrement dangereuse. Son comportement est toujours cynique, méprisant même envers ceux qui pourraient la faire exploser à tout moment : elle sait que si elle est encore en vie c'est parce qu'elle est utile, et elle n'hésite pas à le rappeller à ses détenteurs.
Histoire :
Rapport numéro 492, laboratoire de clonage.
Le clone a pris forme, conformément à ce qui était prévu il s'agit d'une copie conforme de Lucy à partir des échantillons prélevés dans son ADN lors de sa captivité. Ceci nous permettra de créer des Diclonius pouvant se reproduire sans avoir à capturer la rénégate.
Afin de ne pas perdre de temps son vieillissement a été accéléré sur un facteur 4 avec un arrêt à 5 (soit ~20 ans environ). Cela fait donc cinq années à attendre avant de pouvoir tirer des données concrètes, mais le projet en vaut la peine, Directeur.
- Pr. Anuka
Rapport numéro 1042, laboratoire de tests préliminaires.
Jusqu'ici le clone de Lucy, Cassandra, semble être un parent pauvre. Elle n'a que deux vecteurs au lieu de quatre, et leur portée est estimée à 1m50. Selon les tests de traction que nous lui avons faits effectuer, ils n'ont une force que d'une cinquantaine de kilogrammes, ce qui serait assez pour frapper quelqu'un durement mais pas le trancher comme la plupart des Diclonius.
Les tests préliminaires semblent aussi indiquer qu'elle est stérile. Ceci amène plusieurs conclusions qui, même si l'expérience a échoué, nous en apprendrons beaucoup sur les diclonius.
Il semblerait en effet que les vecteurs soient contrôlés non pas par les gènes mais par un mélange entre le code génétique et des facteurs environnementaux, comme le niveau d'intelligence, comme le suggérait le professeur Ozama. De même, leur capacité à se reproduire semble intimement liée aux vecteurs.
Afin d'en tirer le plus possible d'informations, je vais l'envoyer en section de tests intensifs.
- Pr. Anuka
Rapport numéro 1086, laboratoires de tests intensifs.
Lors du "Test du boulet" effectué sur le diclonius numéro 26, un évènement a eu lieu. Elle était convenablement attachée et le pointeur laser prêt, nous avons donc envoyé un premier boulet avec une pression estimée à 50 kilogrammes. Comme prévu, elle a pu le dévier. En revanche, quand nous sommes passés à 70 kilogrammes, elle a pris le boulet dans la cuisse, provoquant une douleur importante.
Elle a semblé s'enrager, et a repoussé les boulets suivants jusqu'à une puissance de 120 kilogrammes, et étonnamment les détecteurs ont révélé quatre vecteurs.
J'ai pensé qu'elle les avait cachés comme le numéro 3 avait caché sa puissance, mais il me semble que cela est plus compliqué. En effet, elle reçut un second boulet qu'elle n'a pas pu arrêter, ce qui a provoqué l'apparition de quatre autres vecteurs. Ceux-ci ont repoussé jusqu'à 600 kilogrammes de pression. La douleur grandissant, les vecteurs ont semblé s'étendre jusqu'au lanceur qu'elle a écrasé net avant de briser ses chaînes.
Les mitrailleuses automatiques ont tiré afin de la neutraliser, ce qui eut pour effet de l'énerver encore. Les relevés indiquent 22 vecteurs d'une longueur de douze mètres.
Ma conclusion est donc que plus elle est blessée plus ses vecteurs gagnent en nombre et en puissance. Cela ne la rend toutefois pas si puissance qu'on pourrait le croire, car elle ne peut se défendre efficacement qu'une fois blessée. Néanmoins gare à celui qui ne la tuerait pas en un seul coup. Elle a pu repousser les balles de calibre .50 BMG qui auraient annihilé n'importe quel autre Diclonius, à l'exception peut-être du numéro 35.
Je conseille de la mettre en isolement dans une salle spécialisée et de lui implanter des explosifs par mesure de sécurité. Elle n'a pu être neutralisée qu'en posant un cable électrique contre le sol métallique de la pièce, l'électrocutant ainsi. Sans ce geste salvateur du garde, elle se serait échappée.
- Pr. Anuka
Rapport numéro 1320, chambres d'isolement.
Le diclonius numéro 26 est toujours au repos pour l'instant. Son nombre de vecteurs est redescendu à deux et leur longueur est restée stable à 1m50 depuis plusieurs mois, ce qui rend possible de la sortir pour l'instant. Afin de la maîtriser nous avons dû faire sauter plusieurs explosifs mineurs. Pour qu'elle garde une relative mobilité, des bras et jambres artificiels lui ont été implantée sur le même modèle que celui utilisé sur le mercenaire Bando.
En effet, ne disposant de façon naturelle que de deux vecteurs très faibles, elle ne pourrait se déplacer autrement. Notez que les implants sont dotés d'explosifs eux-mêmes, ce qui permettra de l'immobiliser si besoin.
- Pr. Anuka
Rapport numéro 1401, chambres d'isolement.
Le numéro 26 semble avoir des tendances psychotiques très avancées même pour un Diclonius, toutefois elle semble avoir aussi compris son intérêt. Elle sait qu'elle ne peut agir contre nous, mais elle semble aussi savoir qu'on la garde pour une bonne raison. Elle n'a donc aucun scrupule à être moqueuse, cynique, ironique, voire insultante et insolente.
Malgré ce trait de caractère elle est visiblement très égocentrique ce qui constitue un défaut, défaut qui la rend moins dangereuse à utiliser que le numéro 35 à mon humble avis. Néanmoins si nous devons l'utiliser pour chasser un autre Diclonius, il faudra savoir qu'elle aura une chance sur deux de ne pas être efficace. Si elle n'est pas blessée, que ce soit physiquement ou émotionnellement, elle restera désespérément inefficace et faible, parent pauvre de Lucy.
- Pr. Anuka
Aime : Se sentir plus maline que les autres, notamment ceux qui la tiennent captive.
N'aime pas : Cette idée dérangeante d'avoir des explosifs dans le ventre. Devoir obéir aveuglément. Qu'on lui rappelle qu'elle n'est qu'un clone raté de Lucy.
A peur de : A priori pas grand chose, mais paradoxalement elle redoute le jour où elle sera libre. Car c'est pour elle une évidence : vu sa "supériorité" elle ne pourra que s'échapper.
But : S'en aller de ce laboratoire et "infecter" un maximum de personnes avec le gène Diclonius.
Autres commentaires : Un personnage un peu tordu donc, qui est extrêmement faible de base mais extrêmement puissant en situation critique. Plus elle est blessée (sans mourir) plus elle gagne en capacités, une sorte de Berserker en version diclonius ! Plus on l'insulte ou blesse, plus ses vecteurs se renforcent, capacité étrange s'il en est.